Les corrélations entre l’occlusion dentaire, les praxies bucco-faciales et l’ancrage somatique de la latéralisation semblent être régies par des lois neuro-fonctionnelles que parvient à vérifier la pratique clinique.
Nous savons par ailleurs que l’une des caractéristiques majeures de la dyslexie (et de nombreuses difficultés scolaires que rencontrent nos enfants) est précisément la désorganisation et la désorientation dans l’espace et le temps selon les normes socio-scolaires établies .
Or, nous appréhendons le monde et notre corps à travers les interactions qui peu à peu se créent entre eux . Lorsque pour s’adapter aux contraintes physiques et psychiques qui jalonnent la vie (hérédité, conditions de grossesse et de naissance, chocs, environnement psychologique, etc.), un corps se délatéralise, notre perception et production sensorielles, motrices, psychiques et mentales du monde se trouvent souvent délatéralisées à leur tour . Nous penchons en effet du côté où nous trouvons notre équilibre le plus économique, quel qu’en soit le coût .. Prioritaire, l’adaptation est une affaire de survie.
Comment par conséquent aider un dyslexique à élaborer des stratégies inconscientes pour trouver cet équilibre, entre son propre système de survie et le système organisé des apprentissages, lequel a fondé ses principes sur le fait normatif que dès 6 ans, chacun d’entre nous a fini de régler sa facture à l’adaptation sans séquelle aucune ?
Comment allons-nous puiser dans les faits subjectifs les ressources qui viendront au secours des faits cognitifs ? Comment un verbe peut-il se conjuguer à tous les temps à la fois, ici comme ailleurs ? Comment rendre crédible l’illusion que les ponts existent, qu’ils sont à chercher, et que peut-être sans grand risque, nous pouvons les traverser ? Des liens que l’hypnose se plaît à retrouver.
Nous savons par ailleurs que l’une des caractéristiques majeures de la dyslexie (et de nombreuses difficultés scolaires que rencontrent nos enfants) est précisément la désorganisation et la désorientation dans l’espace et le temps selon les normes socio-scolaires établies .
Or, nous appréhendons le monde et notre corps à travers les interactions qui peu à peu se créent entre eux . Lorsque pour s’adapter aux contraintes physiques et psychiques qui jalonnent la vie (hérédité, conditions de grossesse et de naissance, chocs, environnement psychologique, etc.), un corps se délatéralise, notre perception et production sensorielles, motrices, psychiques et mentales du monde se trouvent souvent délatéralisées à leur tour . Nous penchons en effet du côté où nous trouvons notre équilibre le plus économique, quel qu’en soit le coût .. Prioritaire, l’adaptation est une affaire de survie.
Comment par conséquent aider un dyslexique à élaborer des stratégies inconscientes pour trouver cet équilibre, entre son propre système de survie et le système organisé des apprentissages, lequel a fondé ses principes sur le fait normatif que dès 6 ans, chacun d’entre nous a fini de régler sa facture à l’adaptation sans séquelle aucune ?
Comment allons-nous puiser dans les faits subjectifs les ressources qui viendront au secours des faits cognitifs ? Comment un verbe peut-il se conjuguer à tous les temps à la fois, ici comme ailleurs ? Comment rendre crédible l’illusion que les ponts existent, qu’ils sont à chercher, et que peut-être sans grand risque, nous pouvons les traverser ? Des liens que l’hypnose se plaît à retrouver.