L’étude des personnalités dites alternantes puis multiples, désignés comme « troubles dissociatifs de l’identité » par le DSM IV, offre un levier pour l’étude de la dissociation dans un travail contemporain avec l’hypnose.
Chez les « personnalités alternantes » du XIXe siècle, l’amnésie était caractéristique entre chaque état. Les personnalités multiples progresseront ensuite dans les années 1970 à 1990 aux Etats-Unis avec la mise en lumière des syndromes post traumatiques. Des abus sexuels intrafamiliaux aux retours des vétérans du Vietnam, la tentative de bornage par le DSMIII amplifiera les dérives socio culturelles de l’époque, on pourra reconnaître jusqu’à cent personnalités différentes. L’irrationnel resurgit sous la houle statistique et scientifique.
Aujourd’hui la recherche identitaire peut se transformer en confusion identitaire via les jeux Internet, piégée dans le monde virtuel des « second life » et des « avatars ».
Comment apprendre de cette frontière entre les états dissociatifs et la dissociation utilisée dans l’induction hypnotique, les entrées et les sorties de transe, et le passage vers la réassociation du sujet ?
Du « dormeur éveillé » au sujet absorbé dans une dissociation provoquée par l’hypnothérapeute, quels sont les mécanismes en commun et les différences, et qui est garde-frontière ? Le sujet, l’hypnothérapeute, ou encore, le troisième terme, cet intervalle vivant du champ des possibles où le sujet se réorganise, dans la transe ?
Un document filmé explore les entrées et sorties de transe. Qu’en est-il du sujet, quand il « suspend ce qu’il est en train de faire…prend un air distrait et lointain, avec une perte de l’éclat du regard, des pupilles dilatées… » de la dissociation à la recherche identitaire contemporaine, le jeu virtuel des « second life ».
Chez les « personnalités alternantes » du XIXe siècle, l’amnésie était caractéristique entre chaque état. Les personnalités multiples progresseront ensuite dans les années 1970 à 1990 aux Etats-Unis avec la mise en lumière des syndromes post traumatiques. Des abus sexuels intrafamiliaux aux retours des vétérans du Vietnam, la tentative de bornage par le DSMIII amplifiera les dérives socio culturelles de l’époque, on pourra reconnaître jusqu’à cent personnalités différentes. L’irrationnel resurgit sous la houle statistique et scientifique.
Aujourd’hui la recherche identitaire peut se transformer en confusion identitaire via les jeux Internet, piégée dans le monde virtuel des « second life » et des « avatars ».
Comment apprendre de cette frontière entre les états dissociatifs et la dissociation utilisée dans l’induction hypnotique, les entrées et les sorties de transe, et le passage vers la réassociation du sujet ?
Du « dormeur éveillé » au sujet absorbé dans une dissociation provoquée par l’hypnothérapeute, quels sont les mécanismes en commun et les différences, et qui est garde-frontière ? Le sujet, l’hypnothérapeute, ou encore, le troisième terme, cet intervalle vivant du champ des possibles où le sujet se réorganise, dans la transe ?
Un document filmé explore les entrées et sorties de transe. Qu’en est-il du sujet, quand il « suspend ce qu’il est en train de faire…prend un air distrait et lointain, avec une perte de l’éclat du regard, des pupilles dilatées… » de la dissociation à la recherche identitaire contemporaine, le jeu virtuel des « second life ».
