Les psychologues du sport interviennent notamment auprès des athlètes de haut niveau en vue de les aider à mieux rendre en compte les facteurs psychologiques qui contribuent à la performance. Par rapport aux défis que posent le sport de haut niveau, les stratégies mentales les plus souvent proposées aux athlètes reposent sur le contrôle mental.
L’hypothèse sous jacente est que les pensées et émotions jugées non utiles doivent être éliminées en vue de favoriser la performance. Diverses études tendent toutefois à montrer que le contrôle mental peut avoir pour effet paradoxal d’intensifier ces pensées et émotions dont l’athlète voudrait tant se débarrasser.
Nous montrerons comment il est possible d’utiliser les ressources de l’athlète pour l’aider à faire face plus efficacement à ces pensées et émotions jugées non utiles. Plus précisément, tous les athlètes ont fait une expérience de « devoir performer » malgré une douleur physique.
Nous montrerons comment les stratégies utilisées dans ce contexte peuvent être généralisées à d’autres « douleurs » et comment l’hypnose et la dissociation sont utilisées à cette fin.
L’hypothèse sous jacente est que les pensées et émotions jugées non utiles doivent être éliminées en vue de favoriser la performance. Diverses études tendent toutefois à montrer que le contrôle mental peut avoir pour effet paradoxal d’intensifier ces pensées et émotions dont l’athlète voudrait tant se débarrasser.
Nous montrerons comment il est possible d’utiliser les ressources de l’athlète pour l’aider à faire face plus efficacement à ces pensées et émotions jugées non utiles. Plus précisément, tous les athlètes ont fait une expérience de « devoir performer » malgré une douleur physique.
Nous montrerons comment les stratégies utilisées dans ce contexte peuvent être généralisées à d’autres « douleurs » et comment l’hypnose et la dissociation sont utilisées à cette fin.
