Lorsqu’un couple rencontre des difficultés à mettre en route une grossesse, ou lors d’une menace d’accouchement prématuré s’engage un parcours médical souvent éprouvant. En complément à la prise en charge médicale, comment soutenir, renforcer, relancer les ressources psychiques propres de la mère, du père, du couple ?
Au sein du service de gynécologie-obstétrique de l’ULG, une recherche menée depuis janvier 2005 met en œuvre des outils tirés de l’hypnose et de la thérapie brève dans ces situations de « crise existentielle » : notamment les ponctions d’ovocytes et la réimplantation des embryons sous hypnose, ou dans le cadre de la gestion des menaces d’accouchements prématurés.
Quels sont les apports d’une telle démarche ?
Comment les implanter dans une équipe pluridisciplinaire médicale dont le psy est largement absent ?
Quels rapports entre dissociation, lâcher-prise et contrôle dans ces parcours caractérisés par l’hyper-contrôle ?
Au sein du service de gynécologie-obstétrique de l’ULG, une recherche menée depuis janvier 2005 met en œuvre des outils tirés de l’hypnose et de la thérapie brève dans ces situations de « crise existentielle » : notamment les ponctions d’ovocytes et la réimplantation des embryons sous hypnose, ou dans le cadre de la gestion des menaces d’accouchements prématurés.
Quels sont les apports d’une telle démarche ?
Comment les implanter dans une équipe pluridisciplinaire médicale dont le psy est largement absent ?
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