En milieu hospitalier :
J’exerce ma profession de kinésithérapeute dans un service de pneumologie, d’oncologie et dans l’EMISP élargie (équipe mobile intra hospitalière des soins palliatifs).
Dans le service de pneumologie, face à des patients trachéotomisés, des BPCO, des asthmatiques en exacerbations, des insuffisants respiratoires nécessitant une VNI (ventilation non invasive)…l’angoisse de ne plus savoir respirer est omniprésente.
La relaxation hypnotique permet au patient de voir son traitement doté d’un bienfait supplémentaire, contre cette crainte, pour le moins justifiée. Cette technique peut s’avérer efficace pour prévenir une crise de panique, limiter les complications éventuelles à la suite d’un bronchospasmes ou faciliter l’installation d’une VNI.
Dans le service d’oncologie, les patients reçoivent des traitements qui engendrent des effets secondaires difficiles à supporter sur une longue période.
L’hypnose permet de favoriser le bien-être du malade, de positiver son moral lors des différentes cures et de lui offrir des moments d’évasions si ressourçant.
Dans le cadre des soins palliatifs, la prise en charge d’un patient implique très souvent l’hypnose. Son utilité se situe essentiellement dans la gestion de la douleur et dans la recherche d’une harmonie intérieure qui contribuent au maintien de la communication avec l’entourage du patient soignant ou familial.
Quand le paysage perçu par le patient devient sombre et triste, il est souvent possible de l’éclaircir. A tel point que celui-ci puisse à nouveau profiter de quelques moments si précieux à ses yeux.
La pratique en cabinet privé :
Les pathologies pour lesquelles l’hypnose s’avère efficace sont multiples. A titre d’exemple : la fibromyalgie, l’algoneurodystrophie, la gestion du stress, les céphalées de tension, les douleurs dorsales chroniques, les problèmes urogynécologiques, la rééducation d’ATM, la préparation natale…
L’hypnose peut s’inscrire comme un outil complémentaire dans le secteur de la kinésithérapie que ce soit en milieu hospitalier ou privé. Là où certaines techniques marquent leurs limites, l’hypnose optimalise les résultats et enrichit la qualité des soins prodigués au patient.
J’exerce ma profession de kinésithérapeute dans un service de pneumologie, d’oncologie et dans l’EMISP élargie (équipe mobile intra hospitalière des soins palliatifs).
Dans le service de pneumologie, face à des patients trachéotomisés, des BPCO, des asthmatiques en exacerbations, des insuffisants respiratoires nécessitant une VNI (ventilation non invasive)…l’angoisse de ne plus savoir respirer est omniprésente.
La relaxation hypnotique permet au patient de voir son traitement doté d’un bienfait supplémentaire, contre cette crainte, pour le moins justifiée. Cette technique peut s’avérer efficace pour prévenir une crise de panique, limiter les complications éventuelles à la suite d’un bronchospasmes ou faciliter l’installation d’une VNI.
Dans le service d’oncologie, les patients reçoivent des traitements qui engendrent des effets secondaires difficiles à supporter sur une longue période.
L’hypnose permet de favoriser le bien-être du malade, de positiver son moral lors des différentes cures et de lui offrir des moments d’évasions si ressourçant.
Dans le cadre des soins palliatifs, la prise en charge d’un patient implique très souvent l’hypnose. Son utilité se situe essentiellement dans la gestion de la douleur et dans la recherche d’une harmonie intérieure qui contribuent au maintien de la communication avec l’entourage du patient soignant ou familial.
Quand le paysage perçu par le patient devient sombre et triste, il est souvent possible de l’éclaircir. A tel point que celui-ci puisse à nouveau profiter de quelques moments si précieux à ses yeux.
La pratique en cabinet privé :
Les pathologies pour lesquelles l’hypnose s’avère efficace sont multiples. A titre d’exemple : la fibromyalgie, l’algoneurodystrophie, la gestion du stress, les céphalées de tension, les douleurs dorsales chroniques, les problèmes urogynécologiques, la rééducation d’ATM, la préparation natale…
L’hypnose peut s’inscrire comme un outil complémentaire dans le secteur de la kinésithérapie que ce soit en milieu hospitalier ou privé. Là où certaines techniques marquent leurs limites, l’hypnose optimalise les résultats et enrichit la qualité des soins prodigués au patient.