Face à l’échec, repérer la déclinaison répétée du même traitement, et obtenir un résultat différent en renonçant à un peu plus de la même solution.
Exposé du cas d’une patiente atteinte de spondylarthrite ankylosante, compliquée d’uvéite et cataracte menaçant la vue, avec des douleurs articulaires difficilement jugulées par la cortisone.
Une intervention chirurgicale de sauvetage est envisagée pour préserver la vue.
Plusieurs spécialistes sont intervenus dans le traitement de l’affection somatique, avec une efficacité relative.
La patiente prend contact pour de l’hypnose afin de tenter d’enrayer la maladie.
Envisager des séances pour traiter le corps, c’est essayer un peu plus de la même solution, dont le résultat n’a pas été satisfaisant.
Il est donc décidé de tenter une solution différente, pour tenter d’obtenir un résultat différent.
La spondylarthrite peut être regardée comme un retournement de l’agressivité du système immunitaire contre le corps.
L’anamnèse fait apparaître chez cette patiente un fonctionnement comportemental relationnel sur un modèle analogue: inhibition de l’agressivité retournée contre soi.
Les séances abordent le traitement du trouble relationnel.
A mesure que la patiente devient capable de s’affirmer, la cortisone peut être diminuée et arrêtée face à une amélioration des douleurs chroniques, et les ophtalmologues récusent l’intervention face à une stabilisation de la vue.
Après un recul de quatre ans les douleurs n’ont pas repris et la vue reste stabilisée.
Exposé du cas d’une patiente atteinte de spondylarthrite ankylosante, compliquée d’uvéite et cataracte menaçant la vue, avec des douleurs articulaires difficilement jugulées par la cortisone.
Une intervention chirurgicale de sauvetage est envisagée pour préserver la vue.
Plusieurs spécialistes sont intervenus dans le traitement de l’affection somatique, avec une efficacité relative.
La patiente prend contact pour de l’hypnose afin de tenter d’enrayer la maladie.
Envisager des séances pour traiter le corps, c’est essayer un peu plus de la même solution, dont le résultat n’a pas été satisfaisant.
Il est donc décidé de tenter une solution différente, pour tenter d’obtenir un résultat différent.
La spondylarthrite peut être regardée comme un retournement de l’agressivité du système immunitaire contre le corps.
L’anamnèse fait apparaître chez cette patiente un fonctionnement comportemental relationnel sur un modèle analogue: inhibition de l’agressivité retournée contre soi.
Les séances abordent le traitement du trouble relationnel.
A mesure que la patiente devient capable de s’affirmer, la cortisone peut être diminuée et arrêtée face à une amélioration des douleurs chroniques, et les ophtalmologues récusent l’intervention face à une stabilisation de la vue.
Après un recul de quatre ans les douleurs n’ont pas repris et la vue reste stabilisée.
